Je l’ai vécue. Je sais ce qu’elle peut provoquer, jusqu’où elle peut mener… C’est une douleur silencieuse, invisible parfois, mais pourtant bien présente.
Alors s’il vous plaît, soyez doux dans vos relations avec les autres.
Ne blessez pas intentionnellement. Faites preuve de bienveillance, de patience, d’écoute.
Soyez cette âme sensible qui apporte du réconfort, qui apaise par sa simple présence.
Vous ne savez pas ce que les gens traversent en silence.
Un mot, un regard, une attention peuvent tout changer.
Choisissez toujours d’aimer un peu plus, de juger un peu moins.
Farida Abèni OSSENI AGOSSOU
Dispensatrice de faveurs imméritées reçues.
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Le silence, loin d’être un espace neutre, peut se transformer en un abîme où les émotions se noient et les souffrances s’enkystent. Il n’est pas toujours synonyme de paix ou de sérénité ; il peut être le cri muet d’une douleur insupportable, la prison d’une âme blessée. Chacun de nous connaît sûrement plusieurs facettes du silence. Pour ma part, j’ai fait l’expérience de quelques-unes qui peuvent se décrire comme: